Ce matin, 28 novembre 2017, pour la nième fois, Greenpeace s’est introduit illégalement sur un site nucléaire.
Le "cirque" habituel s’est ordonnancé selon le rituel désormais bien rodé :
- Greenpeace prévient les autorités, juste avant d’entrer illégalement ;
- Les intrus sont immédiatement repérés par la protection de site ;
- Avant d’être interpellés, ils filment leur "exploit" du jour, et le transmettent à leur relais Greenpeace attendant à l’extérieur ;
- Lancement du "buzz" médiatique par leur service communication qui propose aux médias une "info prête à l’emploi" ;
- Reprise par des chaines d’info continue avides de « breaking news » ;
- Communiqué d’EDF dénonçant l’intrusion et précisant l’absence de conséquences sur la sûreté de la centrale ;
- Instruction judiciaire de la plainte déposée, selon un calendrier bien distinct de celui du temps médiatique.
Ainsi, la soi-disant démonstration de Greenpeace sur la sécurité des centrales françaises ne démontre finalement rien du tout !
Si les gendarmes du PSPG avaient analysé un vrai risque, et pas une mascarade, les intrus auraient sans doute essuyé des tirs...
A Cruas, comme à Cattenom dernièrement, Greenpeace n’est donc que sur un exercice de communication, et rien d’autre.
Que se passera-t-il lorsqu’une organisation terroriste se fera passer pour Greenpeace ?
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